une année pour ... et prolongation! : oiseaux

Oiseaux du Svalbard

quelques migrateurs viennent jusqu'au Svalbard pour nidifier. Nous en retrouverons certains chez nous l'hiver, comme la bernache nonnette.

bernaches nonnettes

Oie à bec court

oies à bec court

Canard Eider à duvet

eider à duvet - mâle

eider à duvet femelle et canetons

Bruant des neiges : le seul passereau venant au Svalbard.
le mâle est principalement blanc et se repère bien. Par contre, la femelle se font plus facilement dans le paysage. Il niche dans la toundra.

le seul oiseau qui reste en hiver est le lagopède mais nous n'en verrons pas.

Les limicoles

bécasseaux violets, violet ou phalarope

bécasseau violet

bécasseau ?

bécasseau sanderling

phalarope à bec large

Les oiseaux pélagiques:
Ici, c'est le paradis des ornithos!

fulmars, goélands et macareux

Les falaises sont un bon refuge pour les oiseaux pélagiques :
Mouettes tridactyles à foison, un vrai bonheur de les entendre piailler dans les falaises. Il faut dire que je trouve qu'elles dégagent une sorte de joie, leurs yeux pétillent et les voir se baigner (par exemple) amène de la bonne humeur...

Le fulmar boréal : l'albatros du grand nord

il s'amuse à raser le voilier, narguant les photographe du bord.

fulmar boréal

Labbes : quatre sortent de labbes dont

le labbe à longue queue, assez classe, il faut bien dire

les labbes pomarins et parasites se ressemblent, le premier est plus gros mais j'ai un peu de mal à les reconnaitre. ils se signalent tout le temps, histoire de bien montrer qu'il ne faut pas approcher mais nous arriverons à trouver un poussin : en fait, c'est simple, j'ai vu un caillou bouger!

le grand labbe beaucoup plus sombre.

Goéland bourgmestre : gros pépère aussi gros que le marin. Il niche plutôt sur le sommet de rochers isolés mais pas trop loin des falaises, histoires de profiter des autres pour se nourrir!

Sterne arctique : la championne du monde de distance en migration, car imaginez que ce sont les mêmes que je voyais à Ushuaia et dans la péninsule antarctique.
Agressive les bestioles, il ne faut pas tenter de s'approcher du nid car sinon, kaï kaï kaï, c'est l'attaque en règle.
Il faut dire qu'elle niche au sol, sur les grèves, alors lors des débarquements, il peut y avoir un peu de stress.
Bon, pour tout vous dire, je les trouve quand même très classes.

Les alcidés

Guillemots de Brünnick : Il niche dans les falaises avec les mouettes tridactyles...
Et de temps en temps, une sorte de vrombissements s'élève en fond sonore des piaillements des mouettes.
Lui, n'est pas très à l'aise en vol mais sous l'eau, c'est un excellent nageur.

guillemot à miroir : c'est le compagnon des mouillages : toujours un qui nage près du voilier. Et hop, il plonge et réapparait quelques mètres plus loin.

macareux moine : sous espèce plus grosse que celle nichant aux Sept-Iles. Il niche dans un terrier au bas des falaise mais nous l'avons observé surtout en mer, où il a bien fait marcher les photographes...

Mergule nain : le plus petit des alcidés
En fait, il y en a plein, par vol ressemblant à un essaim dans le ciel en haut des falaises, en mer en vol groupé, sur l'eau, où il a bien du mal à décoller quand arrive le voilier.