L’arrivée sur le Groenland est toujours aussi spectaculaire, que ce soit par les airs ou encore plus par lamer (car elle se fait lentement) et les fjords sont très souvent cachés par un épais brouillard résultant de la différence de température entre les glaciers et l’eau de la mer.
Cette année, c’est finalement par les airs que je rejoins le
Groenland. Atterrissage toujours aussi hasardeux sur le petit aéroport de
Kulusuk : il y a vraiment beaucoup de brouillard !